Le retour ( Rp Bac a sable)

Il était encore tôt dans la journée, même très tôt. Les nuages qui déversaient leurs pluies cachait le soleil qui commençait a se lever. Très peu de gens, mit de côté les gardes du quart de nuit et les quelques fermier qui s'activait si tôt. A l'exception de l'homme qui se protégeait de la pluie avec sa cape avec capuche de couleur bourgogne, légèrement abîmé, montrant l'usure de cet habit. L'homme masqué revenait d'un petit tour de la forêt avoisinante. Il avait dû sortir pour des raisons bien précises se procurer quelques trucs pour sa boutique.

C'était le genre de personnages reconnue de tous au villages mais connu de très peu, toujours un peu ranger a ses propre projets, qui se mêlait a toutes les foules mais sans jamais laissé trop de détails personnelle sur sa personne. L'heure de son retour démontrait qu'il était sortie du village durant la nuit. Il marchait lentement en marmonnant un aire de sa région d'origine.

-ouff
M'exclame ai-je d'un air fatiguée de ma ma proie qui ma donnée du fils a retorde ce matin sous cette pluie d'aurore.
j'apportais sur mon épaule droite un petit gibier, Lapin salis de boue montrant l'archarnement de l'animal contre mon arbalète. Un proie digne de mon estomac toujours à jeun.

au son de mes gargouillis de ventre, je marchais lentement le long de l'allée boueux et un peut effacé par l'eau de pluie et les herbes fraîchement coupées qui glissais tout le long jusqu'au village qui s'affichais au loin parmi les arbres et le brouillard de cette journée qui s'annonçait être un jour gris.

je regarde par dessus mon épaules droite voyant mon ami mort ballotter d'un coté et de l'autre tel la pendule d'une vieille horloge quelconque. Je le ferai en soupe ? en salade ? je ne sais pas mais la seule choses que je savais c'est que j'allais me régaler !
Je regarde le ciel assombris de nuage laissant les petites gouttelettes caresser mon visage laissant l'histoire de mon petit combat glisser le long de mes joues rosées encore chaude d'adrénaline qui s'évaporais de moi peu à peu.

j'aperçue du coin de l'oeil l'homme qui me semblais étrange au loin et lui fis signe de la main rapidement tout en continuant ma route au rythme des bruits de mon estomac.

Quelqu'un apparu en sortant d'un autres embranchement de la forêt feuillue, c'était Lucia, l'une des chasseuse du villages, il avait eu a faire avec elle quelques fois a la boutique. De mémoire elle native d'ici, élevé par son père qui est mort lors d'une chasse au troll, un peu bête comme mort pour un chasseur réputé, mais ceci était arrivé avant le débarquement du Masque a DuneRune. A son tour, il fit un grand mouvement de la main circulaire pour saluer en retour, quel politesse, s'en allant dans a peu près la même direction.

- Drôle d'heure pour récupérer une trappe, des rumeurs prétendent qu'il y aurait plus que des lièvres qui rôde la nuit.


Ceux qui sortaient du villages était rare en temps de pluie, fallait vraiment avoir une motivation particulière, mais lui il revenait les mains vide, comment pouvait il faire son curieux d'une chasseuse revenant de chasse.

Je me suis arrêtée un moment écoutant l'homme encapuchonné me parler tout en regardant le bout de viande sur mon épaule.
-Ça vous dirais de vous joindre a nous ?

dit-je d'une voix chancelante. je passe ma main de libre dans mes cheveux histoire de déplacer les quelques mèches folle qui volait dans mon visage

-nous sommes que deux a la maison.

je pointe alors le village la ou je me dirigeais et ou je pense que cet homme se dirigeais aussi d'ailleur.
je pris un moment de silence pour faire une pause et écouter le son de la pluie claqueter les herbes
j'ai toujours aimée la pluie. je la trouve tellement reposante comme si le ciel nous berçais.

-Il y a ma mère et moi, Ma soeur n'est pas la malheureusement et je crois que ce petit ami seras trop gros pour deux haha

En plus de ce bon repas, ce lièvre feras sans doute une bonne fourrure pour mère.
Elle qui adore travailler tout ce qui se trouve devant elle. Le bois, la cire, le tissus et j'en passe.
sa maison est tellement décorée comparativement a ma chambre de taverne. Qu'on peut presque pas apercevoir le mur.
Ces mur son parsemé de toile de toute sorte dont des portrait de nous tous. des souvenirs de chasse de mon père, les premiers dessin de ma soeur et même quelques uns des miens lorsque j'avais cinq ans.

Sa remarque plus ou moins préventive ne fut pas relever, évidement elle connaissait les risques hors du villages, comme tout le monde du villages, mais encore plus particulièrement puisqu'elle était une des guerrière réputé de DuneRune, spécialement expérimenté avec les sois disante créatures. Cependant il fut répondu avec un invitation a casser la croûte avec eux, plutôt avec elles. C'était rare, bien que Le Masque était bien connu dans le villages non pas seulement parce qu'il était marchand mais aussi c'était le genre de personnages qui ne passait pas longtemps inaperçu, malgré son masque qui d'ailleurs en intriguait plus d'un.

D'un grand mouvement de révérence en inclinant légèrement le corps vers l'avant il répondit.

- Ça serait un plaisir pour moi, puis personne ne s'attend a ce que j'ouvre la boutique si tôt, l'or dort encore a cette heure. J'irais rangé ce que j'ai dans le sac plus tard.

Il dévia de sa route pour marché légèrement en retrait de Lucia, jettant un regards derrière eux, comme si il s'attendait a voir quelqu'un sortir des bois, comme si il croyait être qu'ils étaient suivit, puis retourna le visage vers l'avant.

- Je n'ai pas eu la chance de croiser votre mère aux Vert Gallant depuis un moment déja.

Le Vert Gallant est le nom du commerce qu'il gérait sur la rue principale, d'ailleurs l'arrière boutique lui servait de résidences également.

L'homme accepta mon invitation ce qui me fut un grand plaisir de pouvoir l'avoir chez moi. enfin chez ma mère plutôt.
je continuais ma route avec l'homme qui me semblait un peu inquiet lorsqu'il jeta un regard par l'arrière.
Personnellement je savais très bien que rien de monstrueux pouvait en sortir puisque j'ai installé des pièges sonore au font des bois qui normalement attire les monstres donc les chances serais mince qu'un d'entre eux serais en train de nous suivre.
Je regarde avec lui pour en être sur moi même car peut-être qu'un d'entre eux échappe a la règle que père m'avait enseigné.

L'homme posa alors un question sur Mère qui étais une habituée des marchés en tout genre et donc le sien sans exception.
-Mère est en pleins travail.

je regarde l'homme par dessus mon épaule en lui esquissant l'un de mes sourires charmeur dont j'ai l'habitude de jeter au monstre avant de les achevers.
-elle travail sur tout pleins de choses créative et avec les fourrures de lièvres que je suis apporte ces derniers temps sont imagination a tilté haha.

je continue ma route voyant l'immense portail d'entré de la ville.
j'inspire un peut l'air ambiant car juste devant nous se trouvais les marchés de pain et de viande.
tout cette nourriture me donne l'eau a la bouche.
-je crois que je vais acheter une miche pour notre repas qu'en pensez-vous ?  

La marche continuait vers le petit village de DuneRune, c’était un petit hameau d’environ 80 habitants. Qui n’avait pas vraiment de chef officiel, les décisions prises pour la communauté sont plus souvent qu’autrement prise par les différents marchands et personnalités influentes du villages.

Il fallait souligner que beaucoup des résidents avaient justement fui pour une raison ou une autre l’ancien monde, donc pas question de plier le genoux ici et surtout pas pour un apostasié comme Le Masque.

- Si elle est occupé ça l’indique bien l’effervescence de l’économie local.

Il hocha affirmativement la tête quand Lucia se toirna vers lui, avec le masque c’était impossible de voir si il souriait en retour. On ne voyait que ses yeux étrangement jaune. Une fois qu’ils franchirent la porte du village il salua les quelques gens qu’ils croisaient.

- Dame Lucia, inutile de s’attarder pour la miche, j’ai pris les choses..,

Il claqua des doigts et sortit une miche de dessous la retombée de sa capuche sur ses épaules.

- ... en main.

Dans ses temps libre il pratiquait la prestidigitation, ça l’amusait bien les clients et partenaires d’affaires.

- Vous n’avez pas eu de problème avec les indigènes dans les forêts récemment?

Je fut surprise a voir la miche apparaître de sous sa capuche mais quelle autre objets y pouvait bien s'y cacher?.
-Des indigènes ?
dit-je d'une voix surprise tout en regardant l'homme a mes cotés
-je n'en ai jamais croisé

je sort alors mon épée de son fourreau montrant les taches de sang sechés sur la pointe de la lame.
-j'ai seulement rencontré trois gobelins essayants de chaparder mon piège.

je sers alors ma lame dans son fourreau délicatement. rendu a destination je devrais la nettoyer avant que ce sang ne cause des dégats a cette arme qui m'était précieuse.

N'ayant plus de miche a acheter, je continuais ma route lentement toujours en humant le parfum des repas ambiant me rappelant les bons vieux souvenir ou père cuisinais a la maison.
il était tellement mauvais cuisinier mais l'odeur qui dégageais de ses repas étais tellement bonne que cela parfumais la maison pendant quelques jours.

Donc les jours ou il était en chasse L'odeur de sa nourriture restait et c'était comme s'il était toujours la avec nous.

quelques minutes passes dans cette marche qui faisait un bruit constant tel une musique sans fin.
je pointe alors la maison qui commençais a apparaître au loin avec la fumée qui sortait de la cheminé.
-C'est ici mère seras ravis d'avoir de la compagnie.

J'esclaffe alors de rire tout en regardant mon compagnon masqué
-il se pourrait que vous partiez avec quelque choses d'autre aujourd'hui hahaha

je faisait alors référence a l'une des nombreuses créations de Mères qu'elle remet a un peu tout le monde puisque sa maison n'a plus vraiment d'endroit ou les exposer.

C'était particulier qu'elle en ai jamais croisé, surtout pour quelqu'un qui y vivait depuis plus longtemps que lui. C'était probablement la réalité des chasseurs et de bien d'autres gens du villages. Tous ne cherchaient pas a se mettre le nez la ou il ne fallait pas. Ce qui n'était pas son cas, mais il le faisait de façon bien prudente, avec sa personnalité si cartésienne.

- tu sais ce qu'on dit sur les goblins hein.

C'était plus ou moins une question, il avait aucune idée sur ce qu'on disait des goblins autres qu'ils étaient nuisible et bien peu productif. La plupart étaient des vile charognard. Quand Lucia dégaina légèrement son arme Le Masque la regardait, la lame, c'était une belle épée, efficace et affuté. Ils arrivaient tout deux devant la maison, ses yeux se plissa légèrement montrant évidement un sourire caché sous le masque.

- J'adore décoré ma boutique avec des oeuvres unique, Haha.

Conclua t'il d'une rire presque trop machinal pour être naturel. C'était une habitudes dérangeante qu'il avait, dans ses manies théatrale et dramatique. Évidement n'étant pas chez eux et étant de bon éthiquette il laissa Lucia entrer avant lui, attendant qu'on lui indique formellement d'entrer dans la demeure, ou il inclina la tête vers l'avant en guise de salutation de politesse dans la demeure.

- C'est bien la première fois que je viens ici. J'espère ne pas dérangé en m'ajoutant comme cela.

J'entras dans le petit batiment. les murs parsemés de décoration et même un nouveau coin que je n'avais pas remarquée avais apparus comme par magie. ce coin étais pleine de ficelles en tout genre.
cela ressemblais a une sorte de capteur de rêve non fini.

je passe la main sur mon ami mort puis détache mon fourreau de ma ceinture pour le placer au bord de la porte parce que ici pas d'arme !
je regarde alors Le masque en lui influençant du regard histoire de lui montrer de faire la même choses s'il possédais un arme avec lui.

je détache alors ma deuxième ceinture remplis de petite bidule étrange encore une fois cela étais des armes confectionnée de mes mains. A croire que construire des choses c'est de famille ?!
Par contre mon "art" servait a tuer des monstres.

je pivote vers la table d'entrée tout en claquant des talons pour faire entendre a Mère que j'étais ici.
Mère nous avons de la compagnie !




De petits pas rapide et saccadée se fait entendre dans les couloirs plus loin au fond de la demeure lorsqu'une petite dame au cheveux grisonnants apparaisse
Oooooh ! Mais quelle agréable surprise !!

sa voix Chantante me fit sourire comme a mon habitude. Mère a toujours été débordante d'énergie même depuis la disparition de père elle invoquais sa peine avec ses larges sourire et son énergie réconfortante comme si rien ne pouvait miner sa bonne humeur. j'ai toujours admirée Mère pour cela.
Ooooooh ! Mais c'est tout une belle visite ça ma belle Luci !

Elle fixa alors l'animal aux longues oreilles sur sa table tout en attachant ses cheveux frisottant en boule au dessus de sa tête.
Oooooh ! Mais c'est tout un beau spécimen ça ! je pourrai en faire de la bonne brochette ! et peut-être un Bonnet !

Je commence a dépecer l'animal tout en souriant largement montrant une grande partie de mes dents. Mère, ta bonne humeur ma toujours fait chaud au cœur.

Une fois entré a l'intérieur, Le Masque avait été invité silencieusement a se libérer de ses armes, il ne l'aurait pas fait, il ne le fait jamais quand on lui demande, mais il ne les avait pas sur lui. D'ailleurs il les avaient très rarement sur lui dans cette vie presque paisible de Marchand, que ferait il avec cela quand il y a tant de bon samaritain prêt a les prendre pour les bons payeurs. Lorsque la personne âgé se pointait devant eux il inclina la tête.

- Enchanté Madame Belwood.

Dit il en serran sa délicate main entre les siennes, s'inclinant la tête encore un peu plus, Il connaissait bien l'éthiquette, après tout il y avait été rapidement soumis. Après cela, il ne savait pas trop quoi faire, il détourna le regard quand Lucia se mit a dépecer l'animal, étrangement Il n'avait jamais fait cela, jamais lui même, c'est pas comme si il était dégouté par le sang, ce serait bien atypique de sa part. Il s'avança et passa autour de la table.

- Votre père vous y a initié durant votre jeunesse, ou vous avez dû l'espionner pour apprendre ? De mon côté mon père ma montrer comment ne jamais perdre une partie d'échec.

Il tourna la tête vers la fenêtre qui jetai sur l'extérieure.